Je porte semble-t-il en moi une grande passivité, une inertie. Peut-être est-elle alourdie par le zyprexa. Quelle importance, au fond ? Ce qui importe c'est d'agir, de faire des gestes forts, de les faire reconnaître.
Je ne suis pas en dépression, même larvée, à ce que dit mon psy. Donc mes lacunes sont des lacunes, pas des symptomes.
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2 commentaires:
Je trouve le contenu de ton blog vraiment interessant...moi je n'en peut plus des medicaments qui au final ne m'arrange pas...tu as beaucoup de courage et je te comprends...
bibi
bizz
Merci.
J'avoue que j'ai eu un gros moment de toute sur ce blog, quand j'ai compris que j'avais un peu trop forcé la dose sur le "c'est pas ma faute je suis (peut-être malade)" et pas assez sur "je suis peut-être malade, faut quand même que je me remette en questions".
Je ne sais pas si c'est utile au lecteur.
En tous cas, les seuls commentaires que j'aie sont des commentaires de bipolaires, ce qui n'est pas étonnant.
Et puis mine de rien, ca fait du bien de savoir qu'on est lu, que quelqu'un a passé du temps à comprendre ce qu'on a écrit, à l'interprêter.
J'aime beaucoup ton site, le graphisme.
Je te souhaite de trouver un équilibre un peu plus stable, un peu d'espace entre les crises.
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